Pour ce POURVU QU’IELS SOIENT DOUXCES spécial FIAC 2021, les membres de Jeunes Critiques d’art Claire Luna, Grégoire Prangé, Horya Makhlouf, Samy Lagrange, Mathilde Leïchlé et Camille Bardin, ont décidé de s’interroger sur cette « semaine de l’art », durant laquelle l’art contemporain titillent tous les médias les plus généralistes et devient un sujet omniprésent.
Afin de répondre aux interrogations quant à cette surmédiatisation ponctuelle et éphémère, iels se sont posé.e.s deux grandes questions :
Qu’est-ce que la FIAC fait aux artistes et qu’est-ce que la FIAC fait aux publics ?

Dans la première partie de ce numéro, Grégoire Prangé & Claire Luna ont rencontré trois artistes :
↘ Première invitée, l’artiste plasticienne Angelika Markul, présente au jardin des Tuileries pour le parcours Hors les Murs de la FIAC 2021 avec des sculptures en bronze
↘ Le jeune peintre Jean Claracq, dont les œuvres sont à découvrir au sein du Musée Eugène Delacroix, lieu partenaire de la FIAC, dans le cadre de la 47e édition de la foire
↘ Et la performeuse Aurore Le Duc, qui a réalisé une performance, ‘Mama don’t preach’, avec Joachim Biehler, tous deux en Marina Abramović, le dimanche 24 octobre 2021, jour de clôture de la manifestation.

Afin de pouvoir comprendre l’impact que la foire joue sur le grand public, iels ont été à la rencontre de différentes personnalités constitutive du lien avec celui-ci :
Anaïs Montevecchi, médiatrice, consultante et enseignante.
↘ Les étudiants de l’École du Louvre, en charge de la médiation du parcours Hors les Murs de la FIAC
↘ En clôture, une analyse d’Horya Makhlouf sur le rapport entre foire, salons et critiques d’art, avant d’enchainer sur un débat sous forme de table ronde, avec Claire Luna, Grégoire Prangé, Horya Makhlouf, Samy Lagrange, Mathilde Leïchlé et Camille Bardin.